D'étranges ruines...(libre)
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D'étranges ruines...(libre)
Chris se réveilla péniblement. La dernière chose qu'il avait vue,
c'était le visage de son co-équipier terrifié. Il voyait flou. Le
jeune homme secoua la tête et sa vision lui revint peu à peu. Il pût
enfin voir où il était. Du sable à perte de vue. Une chaleur accablante. Pas un nuage ni un point d'eau à l'horizon. Il était au beau milieu d'un désert. Puis il prit peu à peu conscience de son corps et constata que ses pieds n'étaient pas en contact avec le sol. Il regarda en bas et vit le sol, à six ou sept mètres sous ses baskets. Il regarda derrière lui pour voir que dans son sac à dos s'était planté le coin d'un mur en ruines, très pointu. Il avait eu beaucoup de chance apparemment. Puis il regarda à sa gauche, et vit son co-équipier, les jambes cassées, ramper par terre. Il articula péniblement quelques mots.
Cid... Ça va ?
Le soldat leva le pouce sans même regarder Chris, pour indique que tout allait bien. Chris s'empara de son couteau et taillada les lanières de son sac à dos, puis tomba lourdement sur le sol, se déboîtant l'épaule. Puis il leva les yeux vers l'autre et eu juste le temps de le voir tomber dans un pièges caché sous le sable. Une gerbe de sang jaillit de la trappe et Chris courut jusqu'au bord pour voir le jeune homme planté dans une dizaine de pieux acérés. La vision lui leva le cœur et il s'éloigna. Il prit son pistolet et son fusil tombés quelques pas plus loin, et les accrocha aux restes de son sac, qu'il mit sur son dos.
Chris leva les yeux et se trouva face à d'imposantes ruines. Il envisagea de les explorer et entra par un trou du mur. Un bruit se fit entendre; Un bruissement. Il dégaina son fusil et avança doucement. Le sable était de moins en moins épais sous ses pieds, et il pût bientôt sentir un sol dallé. Il arriva sur une sorte de place. Il avança prudemment lorsqu'un bruit derrière lui le fit sursauter.
Il se retourna à toute vitesse, tenant en joue la personne qui lui barrait le chemin qu'il venait d'emprunter. L'ombre lui empêcher de bien distinguer la silhouette, il n'aurait su dire s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.
Qui êtes-vous ?!
c'était le visage de son co-équipier terrifié. Il voyait flou. Le
jeune homme secoua la tête et sa vision lui revint peu à peu. Il pût
enfin voir où il était. Du sable à perte de vue. Une chaleur accablante. Pas un nuage ni un point d'eau à l'horizon. Il était au beau milieu d'un désert. Puis il prit peu à peu conscience de son corps et constata que ses pieds n'étaient pas en contact avec le sol. Il regarda en bas et vit le sol, à six ou sept mètres sous ses baskets. Il regarda derrière lui pour voir que dans son sac à dos s'était planté le coin d'un mur en ruines, très pointu. Il avait eu beaucoup de chance apparemment. Puis il regarda à sa gauche, et vit son co-équipier, les jambes cassées, ramper par terre. Il articula péniblement quelques mots.
Cid... Ça va ?
Le soldat leva le pouce sans même regarder Chris, pour indique que tout allait bien. Chris s'empara de son couteau et taillada les lanières de son sac à dos, puis tomba lourdement sur le sol, se déboîtant l'épaule. Puis il leva les yeux vers l'autre et eu juste le temps de le voir tomber dans un pièges caché sous le sable. Une gerbe de sang jaillit de la trappe et Chris courut jusqu'au bord pour voir le jeune homme planté dans une dizaine de pieux acérés. La vision lui leva le cœur et il s'éloigna. Il prit son pistolet et son fusil tombés quelques pas plus loin, et les accrocha aux restes de son sac, qu'il mit sur son dos.
Chris leva les yeux et se trouva face à d'imposantes ruines. Il envisagea de les explorer et entra par un trou du mur. Un bruit se fit entendre; Un bruissement. Il dégaina son fusil et avança doucement. Le sable était de moins en moins épais sous ses pieds, et il pût bientôt sentir un sol dallé. Il arriva sur une sorte de place. Il avança prudemment lorsqu'un bruit derrière lui le fit sursauter.
Il se retourna à toute vitesse, tenant en joue la personne qui lui barrait le chemin qu'il venait d'emprunter. L'ombre lui empêcher de bien distinguer la silhouette, il n'aurait su dire s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.
Qui êtes-vous ?!
Faust- Étranger
- Nombre de messages : 16
Age : 35
Date d'inscription : 15/01/2009
Description
Age: 35 ans
Arme(s): Pistolet automatique, Fusil d'assaut, Poignard
Pouvoir(s): Peut sentir les esprits des être vivants proches. Plus ce pouvoir se développera, plus le champ de repérage grandira et plus l'image cérébrale des esprits sera nette pour Faust.
Re: D'étranges ruines...(libre)
Un feulement rauque lui répondit, la silhouette se déplaça lentement vers là gauche où elle s'accroupit. Un éclat de lumière tomba sur son visage. En partie caché par de longs cheveux blanc, de grands yeux écarquillés d'un gris brumeux, l'adolescent fixait l'humain qui venait d'entrer chez lui.
Il feula à nouveau et grogna légèrement.
*S'il approche, il meur* Ankou, encore. Ses quelques rencontres avec ses créatures lui ayant laissé de cuisants souvenirs.
D'une main il dégaine une lame transparente comme du verre. Ses sourcils se froncent petit à petit. "Sors! Sors d'ici!" La voix est rauque et basse, jeune mais inquiétante.
Il à peur. Les humains lui font plus peur que n'importe quoi et s'il ne veux pas commettre un nouveau carnage, il vaudrait mieux que l'étranger quitte les lieux. L'adolescent se ramasse sur lui même, comme un fauve prêt à bondir.
Il feula à nouveau et grogna légèrement.
*S'il approche, il meur* Ankou, encore. Ses quelques rencontres avec ses créatures lui ayant laissé de cuisants souvenirs.
D'une main il dégaine une lame transparente comme du verre. Ses sourcils se froncent petit à petit. "Sors! Sors d'ici!" La voix est rauque et basse, jeune mais inquiétante.
Il à peur. Les humains lui font plus peur que n'importe quoi et s'il ne veux pas commettre un nouveau carnage, il vaudrait mieux que l'étranger quitte les lieux. L'adolescent se ramasse sur lui même, comme un fauve prêt à bondir.
Unan- Indigène
- Nombre de messages : 35
Date d'inscription : 16/03/2008
Description
Age: 12 ans
Arme(s):
Pouvoir(s):
Re: D'étranges ruines...(libre)
La silhouette tenait une sorte de grand bout de verre acéré à la main. Chris pût enfin l'identifier comme un jeune garçon. Ses cheveux étaient blancs et son regard terrifiant.
QUI ÊTES-VOUS ?! RÉPONDEZ OU JE TIRE !
A ces mots, il fit jouer son pistolet pour émettre un bruit de recharge afin d'apeurer l'enfant. Rien n'y faisait, il ne bougeait pas. S'il fallait en venir au corps à corps, il n'y aurait pas de problème, de plus il avait son couteau, mais cette lame l'inquiétait.
Comme ses menaces ne semblaient pas avoir d'effet, et que l'enfant ne lâchait pas son arme, Chris décida de jouer autrement. Il déchargea son pistolet et le laissa tomber. Il prit son fusil et le jeta en arrière. Son couteau restait accroché dans son dos, hors de vue de l'opposant, au cas où.
Ok petit, t'as gagné. Je suis désarmé. Maintenant, tu peux me dire où on est...?
QUI ÊTES-VOUS ?! RÉPONDEZ OU JE TIRE !
A ces mots, il fit jouer son pistolet pour émettre un bruit de recharge afin d'apeurer l'enfant. Rien n'y faisait, il ne bougeait pas. S'il fallait en venir au corps à corps, il n'y aurait pas de problème, de plus il avait son couteau, mais cette lame l'inquiétait.
Comme ses menaces ne semblaient pas avoir d'effet, et que l'enfant ne lâchait pas son arme, Chris décida de jouer autrement. Il déchargea son pistolet et le laissa tomber. Il prit son fusil et le jeta en arrière. Son couteau restait accroché dans son dos, hors de vue de l'opposant, au cas où.
Ok petit, t'as gagné. Je suis désarmé. Maintenant, tu peux me dire où on est...?
Faust- Étranger
- Nombre de messages : 16
Age : 35
Date d'inscription : 15/01/2009
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Age: 35 ans
Arme(s): Pistolet automatique, Fusil d'assaut, Poignard
Pouvoir(s): Peut sentir les esprits des être vivants proches. Plus ce pouvoir se développera, plus le champ de repérage grandira et plus l'image cérébrale des esprits sera nette pour Faust.
Re: D'étranges ruines...(libre)
L'Ombraïl grogna franchement quand l'humain cria, il rentra la tête dans les épaules et montra les crocs, se tassant un peu plus sur lui même. un pas, un pas vers toi et il est mort Un claquement de mâchoires, non, il ne voulait pas le tuer mais s'il continuait comme ça, Ankou réclamerai sa livre de chaire.
Unan fit un bond en arrière, apeuré, lorsque un morceau de métal tomba de l'arme, rapidement suivit par l'arme elle même. L'adolescent pencha la tête sur le côté comme un jeune chiot, un air légèrement incrédule sur le visage. L'homme se désarmait.
Unan se releva doucement et continua à fixer l'homme, son attitude l'intriguait et l'odeur de poudre et de graisse dégagée par les armes à feu l'empêchait de discerner correctement les effluves exhalant du soldat.
Il reprit la parole. Apparemment il avait gagné, gagné quoi ça par contre... Où on est? comment ça où on est?
"C'est vous qui débarquez chez moi et vous me demandez où on est?! C'est franchement pas drôle comme blague." Ankou retourné dans les méandres de son esprit, Unan avait reprit sa voix, une voix d'enfant boudeur un peu perdu et légèrement apeuré.
Il sembla réfléchir quelques instants puis riva ses grand yeux gris dans ceux du soldat, "J'vous l'dirai si vous m'donnez à manger! J'ai faim moi..."
Il adressa un regard en coins à l'homme et se balança d'un pied sur l'autre, hésitant quant à savoir s'il pouvait l'approcher et lui tourner le dos sans risque. Il décida que oui.
"De toute façon s'il me tue Noa le mangera." Le jeune garçon semblait se parler à lui même, le côté gauche de son visage s'étira en un sourire sardonique et l'étrange voix du début se répercuta à nouveaux contre les parois de pierres: oui, elle le dévorera et recrachera ses os après en avoir digéré la moëlle, hihi Il sembla se reprendre, et posa une main sur sa bouche et fronça les sourcils, comme s'il s'ordonnait à lui même de se taire.
Le gamin longea le mur sombre tout en gardant un œil sur son visiteur indésirable, il se dirigea vers la sortie faisant signe à l'homme de le suivre. En passant près de lui, il ramassa le fusil qu'il ouvrit. Il en extraya le chargeur et balança l'arme vide par dessus son épaule, le jeune humanoïde sortit une balle et l'examina attentivement, une fois à la lumière du soleil, il fit jouer les rayons lumineux sur le fuselage métallique.
Il se retourna vers l'homme et d'une voix toute légère il dit "C'est beau. Mais ça fait aussi très mal."
Unan fit un bond en arrière, apeuré, lorsque un morceau de métal tomba de l'arme, rapidement suivit par l'arme elle même. L'adolescent pencha la tête sur le côté comme un jeune chiot, un air légèrement incrédule sur le visage. L'homme se désarmait.
Unan se releva doucement et continua à fixer l'homme, son attitude l'intriguait et l'odeur de poudre et de graisse dégagée par les armes à feu l'empêchait de discerner correctement les effluves exhalant du soldat.
Il reprit la parole. Apparemment il avait gagné, gagné quoi ça par contre... Où on est? comment ça où on est?
"C'est vous qui débarquez chez moi et vous me demandez où on est?! C'est franchement pas drôle comme blague." Ankou retourné dans les méandres de son esprit, Unan avait reprit sa voix, une voix d'enfant boudeur un peu perdu et légèrement apeuré.
Il sembla réfléchir quelques instants puis riva ses grand yeux gris dans ceux du soldat, "J'vous l'dirai si vous m'donnez à manger! J'ai faim moi..."
Il adressa un regard en coins à l'homme et se balança d'un pied sur l'autre, hésitant quant à savoir s'il pouvait l'approcher et lui tourner le dos sans risque. Il décida que oui.
"De toute façon s'il me tue Noa le mangera." Le jeune garçon semblait se parler à lui même, le côté gauche de son visage s'étira en un sourire sardonique et l'étrange voix du début se répercuta à nouveaux contre les parois de pierres: oui, elle le dévorera et recrachera ses os après en avoir digéré la moëlle, hihi Il sembla se reprendre, et posa une main sur sa bouche et fronça les sourcils, comme s'il s'ordonnait à lui même de se taire.
Le gamin longea le mur sombre tout en gardant un œil sur son visiteur indésirable, il se dirigea vers la sortie faisant signe à l'homme de le suivre. En passant près de lui, il ramassa le fusil qu'il ouvrit. Il en extraya le chargeur et balança l'arme vide par dessus son épaule, le jeune humanoïde sortit une balle et l'examina attentivement, une fois à la lumière du soleil, il fit jouer les rayons lumineux sur le fuselage métallique.
Il se retourna vers l'homme et d'une voix toute légère il dit "C'est beau. Mais ça fait aussi très mal."
Unan- Indigène
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Date d'inscription : 16/03/2008
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